Coup de théâtre au Biarritz Olympique : Jean-Baptiste Aldigé, le big boss, annonce qu’il va passer la main, tout comme son acolyte Louis-Vincent Gave. Devant les joueurs, au stade Aguiléra, il lâche la bombe ce lundi.
Aldigé dit bye, mais le club tient la route
Depuis 2018 aux commandes, Aldigé et Gave pourraient quitter le navire avant l’heure si des repreneurs frappent à la porte. Malgré les vagues, Aldigé assure que tout est sous contrôle, notamment les salaires, tant qu’ils sont aux manettes.
Vendredi, soir de fête
Les joueurs n’ont pas attendu pour montrer de quel bois ils se chauffent. Contre Vannes, leader du classement, ils ont mis le feu, s’imposant dans un match où chaque point comptait. Thomas Hébert, en troisième ligne, parle d’un match qui soude, qui montre la grinta de l’équipe. C’était pas juste gagner; c’était prouver qu’ils étaient là, unis et forts.
La réaction de l’équipe
Après l’annonce d’Aldigé, on pourrait croire que le moral serait en berne. Que nenni ! L’équipe est plus soudée que jamais, prête à en découdre. Pierre Pagès, notre demi de mêlée, et Roger Ripol, coach des avants, sont fiers de l’esprit de combat affiché. Ils savent que les challenges ne manqueront pas, mais la volonté est là.
Et la suite ?
Cette victoire, couplée à l’annonce d’Aldigé, pose les bases d’un nouveau chapitre pour le Biarritz Olympique. Les matchs à venir seront cruciaux. Mais une chose est sûre : l’équipe a du cœur et de la rage. Le soutien indéfectible des fans montre que la passion pour le rugby et pour le BO est loin de s’éteindre. Ensemble, joueurs, staff et supporters, vont écrire la prochaine page de l’histoire du club. Le challenge est de taille, mais à Biarritz, on n’a jamais eu peur de se retrousser les manches.
Marco, avec lui, tu ressens chaque match comme si t’étais dans les tribunes, la tension, l’excitation, la joie des grands jours. Il a cette manière unique de raconter les matchs, te faisant vibrer au rythme du ballon ovale. Marco, c’est notre conteur, celui qui sait transformer un match en légende.