L’enquête visant les rugbymen Oscar Jegou et Hugo Auradou semble s’orienter vers un possible non-lieu, après la publication d’un rapport d’experts psychiatriques remettant en cause la version de la plaignante.
Un récit sous haute suspicion
D’après le rapport, le témoignage de la plaignante est jugé incohérent et présente des contradictions importantes, comme le rapporte le Figaro.
Les experts mettent en lumière des détails invraisemblables et relèvent une certaine rigidité dans la façon dont les événements sont relatés. Cette structure non spontanée, éloignée des récits de victimes authentiques, affaiblit la crédibilité de la plaignante selon les conclusions de l’expertise.
Des influences extérieures pointées du doigt
Les experts soulignent également l’importance d’influences extérieures dans la construction du récit, notamment une amie de la plaignante, avec qui elle s’est entretenue peu après les faits présumés.
Ce facteur renforce l’idée d’une manipulation des faits pour asseoir une position de victime, tout en effaçant certains éléments compromettants.
L’affaire en route vers un non-lieu ?
Depuis leur retour en France début septembre, après plusieurs semaines de détention en Argentine, Jegou et Auradou attendent la décision de la justice argentine. Le rapport d’expertise psychiatrique pourrait accélérer la procédure vers un abandon des charges, bien que la plaignante continue de maintenir sa version des faits.
L’issue de cette affaire repose désormais entre les mains des juges, alors que les avocats des deux joueurs réclament la fin de la procédure.
J’ai grandi dans une famille où le rugby était de tous les moments. J’étais au bord du terrain quand Castres a battu Pau et a rejoint l’élite, j’étais dans le Stade Pierre Antoine face à Gary Whetton quand il a fait son Haka pour célébrer le Brennus de 1993 et j’ai toujours été bercé des légendes de ce sport. Maintenant, c’est avec XV Ovalie que j’entends prolonger l’aventure. #TeamCO